Seuls sont les indomptés
par François Kasbi
9 novembre 2013

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Mérot nous explique que tout homme porte en soi le désir d’une apocalypse.
P. S. : L’humour de Mérot, comme le diable, est aussi dans les détails. Comme sa façon de préciser qu’il cite “Ulysse”, de Joyce, d’après la traduction de 2006, révisée par Stuart Gilbert et Valery Larbaud (la première en date). On en conclut ce qu’on veut. Mais on sourit.
Toute la noirceur du monde, de Pierre Mérot, Flammarion, 240 p., 18 €.
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